Comment passer du stress à la sérénité par
1 Voir le monde autour de soi
2 Aller vers la connaissance de soi même
3 Connaître les relations avec autrui
La sérénité :
7 astuces pour la trouver. Retrouver le calme et la sérénité.
1 Accepter ce qui se passe avec sérénité. On est tellement habitué de lutter contre ce qui se passe au lieu tout simplement de l’accepter.
2 Freiner l’impatience
3 Renouer avec la nature
4 Vivre ici et maintenant
5 Exprimer sa gratitude et évacuer les rancunes
6 Se créer un cocon apaisant.
7 Cultivez la sérénité avec la visualisation
Les trois raisons qui explique l’anxiété et le stress :
Vous ne dormez pas assez
Vous avez des pensées négatives
Vous vivez à 1000 km/h
Ce qui compte souvent dans les crises, c’est de les surmonter.
On est parfois pétri par le milieu dans lequel on évolue, social, environnementale, professionnel, vie privée et bien d’autres domaines encore.
La bonne nouvelle, c’est qu’il possible de le modifier.
Comment est-ce-possible ?
Comprendre que l’on peut s’imprégner du milieu de façon positive est essentielle pour sa propre vie.
Les miracles ne sont pas contre nature. Ils ne sont en contradiction qu’avec l’idée que nous nous faisons de la nature. Saint Augustin.
En période de crise, voire d’une catastrophe vécue, on évolue et on profite de cette expérience pour par exemple de changer de vie, l’affection et son importance dans cette reprise évolutive.
Les catastrophes dans la vie peuvent être nombreuses. Les échecs doivent se transformer en expérience.
La vertu des crises est que l’adversité est inévitable. La modernité nous fait croire qu’elle n’existe pas, or c’est contre nature. Une crise nous rappelle que nous sommes mortelles, la maladie, la valeur de la vie, l’habituation hédonique est constante.
L’importance des liens est donc très précieuse dans ses moments.
Comment être pleinement sois- même ?
Pourquoi chercher à être sois -même ?
Ce n’est jamais la même chose. Le portrait est celui de l’être humain universel. Des efforts et des quêtes sont parfois plus importantes que soi.
De quoi j’ai envie ? quel idéal ? De quoi ai-je besoin pour devenir ce que j’ai envie d’être ?
La carence affective est la grande cause de manque de confiance en soi. Se centrer sur soi-même est vital.
L’action a un grand pouvoir tranquillisant en passant par le corps. Or aujourd’hui dans notre société, ce sont principalement les mots qui sont imposés comme moyens d’actions.
Faire des actions et interactions par le corps feront prendre confiance en soi de façon sensationnelle.
Rien ne vaut l’action pour se transformer. En osant agir les transformations passe par la mise en action concrète.
En agissant on se trompe souvent, en agissant pas on se trompe toujours. Romain Rolland
Notre cuture de protection est angoissante.
Le danger est le pic de solitude. Si l’on est entouré les problèmes peuvent être traités différemment.
On inscrit dans sa mémoire des facteurs qui peuvent nous rendre vulnérable. L’entourage est très précieux pour par exemple pour une tentative de suicide.
Etablir des liens avec des gens qui nous correspondent est indispensable, proche, famille, amis comme ressources !
La signification et le sens sont importants dans un événement.
L’interdépendance est capitale. Ensemble on va plus vite, plus loin. La solidarité est commune dans notre lien aux autres.
Être en désaccord n’est pas la même impression que le conflit.
Nos émotions et pensées passent par le dialogue et la communication non violente pour :
Avoir moins de stress
Calmer l’anxiété
Retrouver du calme et la sérénité.
Concrétiser un projet
Augmenter sa confiance en soi
Le rythme respiratoire c’est la vie. Ce qui est vrai ou pas, on sait que l’espoir est possible.
Quand la réalité est trop dure les rêves sont salutaires. La vitalité est en soi.
La sophrologie, l’hypnose, la méditation sont des allers-retours pour comprendre le monde.
La respiration nous offre le contact dans la matière dont nous cultivons les liens moi et les autres.
La résilience : comment peut-on traverser l’adversité ?
Les mots ont plusieurs sens dans notre culture et son évolution. Le concept est très bien accueilli mais de temps en en temps il y a des contre-sens.
Un traumatisme nous oblige à serrer les dents. Le déni est un facteur qui refuse la résilience.
Quand on parle, sa fonction élabore une stratégie qui permet de transformer son malheur vers un autre angle et comprendre sans être prisonnier du passé.
Transformer une difficulté en force. Le concept de la résilience est de renaitre de sa souffrance !
L’anxiété : marcher en état attentif pour le présent et la méditation sophrologique. L’action est bonne pour éviter l’anxiété.
La résilience chez les asiatiques est différente du mode occidental.
Le sprint dans nos sociétés est un facteur d’angoisse. Le ralentissement diminue les impulsions et apaise pour pouvoir se concentrer. La chine a décidé de ralentir le rythme scolaire tout comme dans les pays nordiques.
Dans l’activité physique c’est pareil, s’entrainer au 2/3 de ses capacités pour éviter le burn-out.
La philosophie est à prendre du temps à ne rien faire.
La respiration physique dans sa pratique et sa prise de conscience et existentielle est vitale
Pour calmer l’anxiété :
L’action est un super tranquillisant chimique. Faire une activité physique à son rythme est une des solutions comme les loisirs musique, bricolage, sport. Se ménager des espaces pour ça.
Surveiller son mode de vie, la surconsommation d’information, par aussi des réseaux sociaux raisonnablement. On est exposé sans pouvoir agir.
L’anticipation constante est préjudiciable. La rumination est toxique car je ressasse.
Le danger est que cette peut préoccupation peut devenir réalité.
L’empathie :
Deux stratégies :
je me sacrifie ou bien j’en fait trop.
Un rythme est à trouver pour trouver pour aider en se respectant.
Se préserver sois même et les bénéfices de l’altruisme.
Aider peut m’aider. Ne pas aller au-delà de ses forces. Garder aussi le lien avec les autres sans se sacrifier sois même.
Comment soulager la culpabilité ?
Les pervers ne se sentent jamais coupable. On peut se sentir coupable alors que l’on ne l’est pas.
Un peu de culpabilité c’est le fondement de la morale. Trop de culpabilité apporte la souffrance en se punissant.
Une société qui ne sent pas coupable devient un chaos. La culpabilité permet un usage d’émotions humaines.
Dans notre quotidien comment faire et créer des habitudes ?
Gérer son temps. Le mot magique est aussi de dire parfois NON.
Renoncer, décider à un moment de dire non à des obligations. Arriver à renoncer pour faire autre chose.
Se fixer des rendez-vous dans un plan temporel et se permettre de faire des choix.
Faire les choses à mon rythme me procure du plaisir en harmonie avec moi-même.